Les techniques de rédaction web pour des articles irrésistibles

Techniques de rédaction web pour des histoires puissantes

Rien de pire que le syndrome de la page blanche…ou la difficulté à structurer son contenu web. Il serait dommage de voir vos lecteurs vous quitter dès le premier paragraphe. Dans cet article, je vous dévoile les meilleures techniques de rédaction web pour des écrits engageants et percutants. Grâce à ces méthodes efficaces, vos écrits plairont autant aux lecteurs qu’à Google !

Les meilleures techniques de rédaction web pour votre contenu

Tout le monde peut-il vraiment écrire pour le web ? Ce n’est qu’un mythe : certaines bonnes pratiques sont incontournables. 

Ces deux techniques sont en quelque sorte les règles de base de la rédaction web. Mais elles sont indispensables. N’oubliez pas la règle d’or : écrire pour les moteurs de recherche, c’est avant tout écrire pour les gens. Un contenu de qualité, prenant en compte l’intention de recherche, est la clé de voûte de votre référencement.

La pyramide inversée en rédaction web

La pyramide inversée consiste à insérer les informations essentielles au début de votre article. Cette technique de rédaction web tient compte des comportements de lecture des internautes. Considérez que seule une minorité de lecteurs lira l’intégralité de votre contenu. 

Voici un exemple de structure en pyramide inversée : 

  • Un titre clair et engageant suivi d’une introduction courte et attirant l’attention.
  • Répondre immédiatement aux questions que se pose le lecteur : de quoi parle le sujet ? Que va-t-il lui apporter ? En quoi cela le concerne-t-il ? 
  • Répondre aux questions les plus précises : comment cela fonctionne, quels sont les avantages ? 
  • Les détails : fabrication du produit, assurance, dates, données etc.
  • L’appel à action (CTA)

Par exemple, dans un article sur le stationnement des vans en région PACA, commencez par indiquer les réglementations qui régissent la pratique. En effet, l’internaute veut savoir quelles règles il doit respecter et où il peut stationner. Abordez ensuite des questions plus spécifiques comme les alternatives au stationnement traditionnel. 

Une erreur fréquente chez les débutants : croire qu’il faut ménager le suspense. En réalité, c’est tout le contraire ! Ce qui implique de s’interroger sur les intentions de recherche de votre lecteur et les questions qu’il se pose. De plus, cette technique aide Google à mieux cerner l’objet de votre article.

Les zones de chaleur et le eye tracking

Prolongement de la technique précédente, il s’agit d’organiser son contenu en fonction des mouvements oculaires. 

La lecture suit souvent une forme en F. Les visiteurs lisent en général les premiers paragraphes et la lecture va se faire plus rapide et espacée en descendant. Il est crucial de commencer par un chapô attractif et un titre attirant, reprenant l’idée principale de votre contenu.

Pour structurer un article de blog, vous commencez par une courte introduction et hiérarchisez vos titres( h1 et h2) selon les niveaux d’information. Les titres sont essentiels pour rédiger un article SEO.

La règle d’or : rédiger pour le web et pour vos lecteurs

Parmi les types de rédaction web, le principal est la rédaction web SEO. Or, si vous écrivez pour les lecteurs, alors vous écrivez aussi pour les moteurs de recherche et vice-versa. 

Le storytelling et la loi de proximité

Nous adorons tous que l’on nous raconte de bonnes histoires, encore plus si elles sonnent vrai. Pour créer un bon storytelling, commencez par une situation initiale puis ajoutez un conflit et une résolution.

Mais surtout, choisissez une situation dans laquelle votre audience peut se reconnaître. C’est la loi de proximité. Réfléchissez aux besoins de votre cible, à ses préoccupations. En vous adressant à tout le monde, vous ne vous adresserez à personne. Soyez donc précis. Utilisez des marqueurs locaux et temporels familiers. 

Ces derniers vont humaniser votre texte. D’où l’intérêt de rédiger ou de faire rédiger vos textes par un rédacteur web confirmé. Car l’IA ne pourra jamais vous apporter cette touche. 

Enfin, utilisez le vocabulaire de votre lecteur. Soyez le plus précis possible. Dites “un cocker” plutôt qu’un chien” et “une Peugeot” plutôt qu’une voiture. De même, utilisez un vocabulaire simple pour un public jeune ou de néophytes. Optez pour un ton plus soutenu si votre audience y est habituée. 

Ajoutez des citations pour plus de véracité. Employez les termes les plus inclusifs possible. Par exemple en féminisant les noms de métiers.

Le principe de clarté et de concision

Vous devez être le plus concis possible et alléger le texte à la même occasion. Voici le premier principe de la rédaction web : vos paragraphes doivent faire environ 5 lignes. Vos phrases ne doivent pas dépasser les 20 mots. Variez cependant leur longueur pour rendre votre texte plus vivant et musical. 

Passons ensuite au vocabulaire. Éliminez les phrases inutiles, les généralités et les pléonasmes. 

Regardez plus précisément vos textes. Certains mots récurrents devraient émerger. Nous les avons tous employés (moi comprise !). Une fois que vous en êtes conscient, vous pourrez les éliminer. 

Voici quelques-uns des plus fréquents :

  • Le verbe Permettre
  • Les auxiliaires être et avoir
  • Le verbe faire

Employez également des mots concis et évitez les adverbes à rallonge. Enfin, soyez actif et dynamique. Ce qui implique de : 

  • Privilégier la voix active
  • Choisir les tournures directes : “ils vous accompagnent” plutôt que “vous accompagneront”
  • Les affirmations directes sont toujours plus intelligibles que les négations.

Les outils de rédaction web pour appliquer ces techniques

Comment choisir les bonnes techniques de rédaction web ?

Commencez par créer votre stratégie éditoriale. Grâce à ce document de référence, toute l’équipe pourra suivre des règles cohérentes. Pensez à effectuer un travail de cadrage. Quand votre lecteur potentiel va-t-il lire vos articles ? Comment ? Quand ?

Vous ne vous adressez pas à tout le monde mais à un segment précis.

Voici enfin les outils techniques : 

Un correcteur orthographique. Antidote est une option populaire chez les rédacteurs de contenu. Le correcteur Le Robert est aussi très performant. Ils proposent des abonnements mensuels ou la possibilité d’acheter la licence en une seule fois. Ils intègrent un dictionnaire de synonymes en plus du correcteur d’orthographe. 

Autrement, les lexiques, les dictionnaires de synonymes…

Et bien entendu, les IA ! Un sujet fortement débattu. L’IA vous assiste pour le brainstorming, pour chercher des idées. Une technique consiste également à faire corriger votre texte. Demandez à l’IA de lister les fautes présentes et de vous expliquer la règle. 

L’intelligence artificielle ne remplace pas le rédacteur de contenu web. Mais elle est un assistant précieux.

Utilisez un compteur de caractères pour vous assurer de la longueur de vos titres. Enfin, n’oubliez pas l’indice de flesch. Celui-ci mesure la lisibilité d’un texte. Vous pouvez calculer cet indice grâce à des outils gratuits en ligne.

Et c’est sans oublier les précieux outils de référencement SEO, comme le Google Key Word Planner (pour trouver des mots-clés) ou encore des références payantes comme Ubersuggest et Semrush.

Vous connaissez désormais les techniques de rédaction web ! Grâce à elles, vous rédigerez des articles de qualité, prenants et engageants. Pensez à l’humain avant tout : vous n’en serez que plus lu !  Partagez cet article avec une connaissance qui a besoin d’aide pour rédiger ses textes. 

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